Conseils pour apprendre à votre chat à monter en voiture avec vous

Lorsque votre chat monte en voiture, il prend peur, se met à pleurer, vomit, et les choses deviennent rapidement incontrôlables. Toutefois, sachez que cette situation n’est pas permanente et que vous pouvez apprendre à votre chat à conduire. Pour vous aider, nous vous offrons de nombreuses astuces et de précieux conseils.

Ajuster son transit intestinal

Les chiens stressés peuvent rapidement développer des problèmes digestifs. Si l’on ajoute à cela la possibilité d’un mauvais transport, la situation peut devenir un peu nerveuse. Par conséquent, la première priorité est de s’assurer que votre chat reçoit une alimentation saine, complète et équilibrée.

En effet, si votre chat a déjà des problèmes digestifs, un scénario stressant peut encore les exacerber. Essayez de lui fournir des croquettes de poisson-chat adaptées à ses besoins alimentaires spécifiques. Il est possible qu’un complément alimentaire « digestible » soit un investissement rentable. Consultez votre vétérinaire si vous avez des questions ou des inquiétudes.

Retirer la nourriture de l’estomac quelques heures avant un voyage peut contribuer à diminuer la quantité de vomissures produites. En revanche, l’eau doit être laissée sans restriction. Si vous voyagez sur une longue distance, faites des pauses toutes les 8 heures environ pour que votre compagnon de voyage puisse boire, manger des croquettes de poisson-chat, aller aux toilettes et récupérer des efforts du voyage.

Pour les moments où vous ne pouvez pas vous résoudre à le laisser sortir, vous pouvez le laisser errer à sa guise dans le véhicule. N’oubliez pas que laisser votre chien en liberté sur la banquette arrière d’une voiture est assez dangereux en termes de sécurité. Il est possible qu’il vous saute dessus, qu’il se prenne les pieds dans vos cheveux ou qu’il vous distraie de toute autre manière.

Même en cas d’accident, l’animal ne sera pas protégé. Si, malgré ces précautions, votre animal présente des signes de maladie du transport (comme une salivation excessive, des vomissements ou des platitudes), vous pouvez demander à votre vétérinaire de vous fournir des médicaments contre les nausées.

L’utilisation de produits calmants est la meilleure solution

Les hormones anti-stress peuvent être utiles si votre chien est stressé. En diffuseur, en lingerie ou en spray, elles procurent à votre compagnon une sensation de détente et l’aident à faire face au stress du voyage. 30 minutes avant le départ, mettez-les dans votre portefeuille et sur votre propriété, puis dans votre voiture. Ils sont plus ou moins efficaces selon les individus. L’idéal serait de tester à l’avance la réaction de votre chat.

Si les hormones n’ont pas d’effet, vous pouvez opter pour des tranquillisants sous forme de cachets. Demandez conseil à votre vétérinaire et suivez les instructions de dosage. Informez votre vétérinaire si vous envisagez d’utiliser en plus des médicaments anti-nauséeux.

L’acceptation de la cage de transport est un processus simple

Ce petit détail en apparence peut, en fait, faire toute la différence. Comme astuce, vous devriez toujours laisser la caisse de transport de votre chat ouverte à la vue de tous. Ainsi, il ne l’associe pas à un trajet en voiture et son odeur y sera déjà présente.

Choisissez un caddie de bonne taille pour lui et mettez-y une couverture ou un jouet préféré. Cet objet émettra des odeurs familières et le mettra mal à l’aise.

Si vous devez voyager pendant une longue période, il est bon de vous procurer une cage de voyage pour chien qui comprend un bol d’eau, une litière, des jouets et un sac. Ne le poussez pas à entrer dans la cage de transport. Jouez avec lui pour qu’il s’éloigne sans se faire remarquer ou glissez-y quelques friandises.

Réaliser des voyages une étape à la fois

Il est également recommandé de faire un régime d’exercices en préparation de la journée J afin d’habituer votre chien à la sensation d’être dans une voiture. Une fois que votre chien a accepté sa cage de transport, commencez à le placer dans le véhicule, mais ne démarrez pas. La fois suivante, démarrez le moteur, mais ne conduisez pas. Procédez à des tests plus longs et dispersés sur plusieurs jours.

Vous pourrez commencer à conduire lorsque vous aurez franchi cette étape. Commencez par des trajets courts de quelques minutes et allez-y doucement. Vous devez augmenter progressivement la longueur et la vitesse des trajets de votre chien au fur et à mesure qu’il s’habitue.

Cet entraînement aidera votre chien à s’habituer au bruit du moteur, à l’odeur de la voiture et à ses mouvements. Vous pouvez commencer à l’entraîner environ une semaine avant la course ou de façon régulière pour l’aider à développer une routine.

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